Ensemble des techniques et des arts graphiques ayant pour objet la conception, la préparation, la rédaction et la réalisation de tous les types de plans ou de cartes [2].
Traduction française : Extraction Transformation Chargement. Outil de l'informatique décisionnelle pour l'intégration et la mise à jour de données depuis des sources hétérogènes vers un entrepôt de données.
Science qui représente et mesure la surface terrestre, en incluant la détermination du champ de pesanteur et du fond océanique (Wikipédia).
Discipline ayant pour objet la gestion des données géographiques et qui fait appel aux sciences et aux technologies reliées à leur acquisition, leur stockage, leur traitement et leur diffusion [2].
Langage dérivé du XML pour encoder, manipuler et échanger des données géographiques. Standard développé par l'Open Geospatial Consortium.
Voir aussi XML.
Implantation particulière d'une architecture OLAP à la fois dans des bases de données multidimensionnelles et relationnelles : "hybride" entre ROLAP et MOLAP.
Format de données conçu pour représenter des pages Web.
Catégorie d'applications et de technologies permettant de collecter, stocker, traiter et restituer des données multidimensionnelles, à des fins d'analyse. Une autre définition est résumée dans l'acronyme FASMI (Fast Analysis of Shared Multidimensional Information), en français "analyse rapide d'information multidimensionnelle partagée" [8].
Traduction française : systèmes transactionnels. Systèmes insistant sur le stockage, l'accès, la mise à jour des données très détaillées et leur intégrité, ils reposent généralement sur des systèmes de gestion de bases de données suivant une structure relationnelle normalisée.
Technologie de stockage cartésien d'une vue multidimensionnelle, s'oppose au ROLAP.
Voir aussi OLAP.
Technique d'analyse multidimensionnelle à partir de données stockées dans des bases relationnelles.
Voir aussi OLAP.
Technique consistant à effectuer des mesures dans une scène en utilisant la parallaxe obtenue entre des images acquises selon des points de vue différents.
Système d'information portant sur des données géographiques [2], capable d'assembler, stocker, manipuler et afficher l'information à référence spatiale.
Plate-forme visuelle supportant l'exploration et l'analyse spatio-temporelle faciles et rapides des données selon une approche multidimensionnelle à plusieurs niveaux d'agrégation via un affichage cartographique, tabulaire ou en diagramme statistique (Yvan Bédard).
Voir aussi OLAP.
Traduction française : langage structuré de requêtes. Langage de requête standard et normalisé destiné à interroger ou à manipuler des bases de données relationnelles.
Format de données, spécifié par le World Wide Web Consortium, conçu pour décrire des ensembles de graphiques vectoriels.
Suite de protocoles, le nom provenant des deux protocoles majeurs TCP et IP. Ensemble de règles de communication sur Internet se basant sur la notion d'adressage IP (fractionnement des messages en paquet, utilisation d'un système d'adresses, routage des données, contrôle des erreurs de transmission).
Acquisition d'informations sur un objet par l'intermédiaire d'un instrument de mesure n'ayant pas de contact avec l'objet étudié (Wikipédia).
Traduction française : cartographie en ligne. Ensemble des techniques permettant de produire concevoir traiter et publier des cartes sur un réseau Internet, extranet, intranet.
Service dans lequel un serveur permet à un client de réaliser des manipulations sur des objets géographiques : création, suppression, mise à jour ou demande d'informations.
Service permettant à un client (navigateur standard mais plus généralement via un logiciel interactif) de produite des cartes interactives à partir de différents serveurs cartographiques. Ces serveurs sont capables de retourner des images (matricielles et vectorielles) à partir d'une requête dont les opérations demandées sont soumises directement dans une URL (Uniform Resource Locator).
Langage de balisage générique dont la syntaxe est une recommandation du World Wide Web Consortium pour exprimer des langages de balisages spécifiques. Il sert essentiellement à stocker et à transférer des données de type texte structurées en champs arborescents.